No, it is not a fireworks display as the literal translation from Japanese to French « feu de fleurs » indicates. Let’s interpret this in reverse as a negative of what humanity is experiencing at the moment. The atmosphere of our planet as well as that of the era of time does not make it easy for us to maintain the optimism necessary for human beings to continue in harmony on their only home, our EARTH. The war never stopped, worse it grew, as if we had to prepare for the worst, the apocalypse. However, this is not in the interest of capitalism, although one wonders…
This triptych resonates like an alarm cry of distress but also of love and hope. It is a mixture of contradictory emotions where fear merges with trust, love with hatred to name just these 4. The first part shows the fire already present, already active, the war, the instability, the ephemerality of events, the repetition.
The second part represents the underside of the elements, what comes after, what is behind, the emotions generated by all that but also the voices, the attempts to express this chaos, this anguish.
The third synthesizes all this disarray, to try to bring humanity into an elevation of its consciousness, to try to bring the right questions to the table.

Non, ce n’est pas un feu d’artifice comme la traduction littérale du japonais au français le feu des fleurs l’indique. Interprétons cela à l’envers comme un négatif de ce que l’humanité vit en ce moment. L’atmosphère de notre planète ainsi que celle de l’ère du temps ne nous facilitent pas à maintenir l’optimisme nécéssaire pour que l’être humain perdure dans l’harmonie sur son unique maison, notre TERRE. La guerre n’a jamais cessé, pire elle s’est amplifiée, comme si nous devions nous préparer au pire, à l’apocalypse. Ce n’est pourtant pas dans l’intérêt du capitalisme, quoiqu’on se demande…
Ce triptyque résonne comme un cri d’alarme de détresse mais aussi d’amour, d’espoir. C’est un mélange d’émotions contradictoires ou la peur se confond avec la confiance, l’amour avec la haine pour ne citer que ces 4. 
La première partie montre le feu déjà présent, déjà actif, la guerre, l’instabilité, l’éphémère des événements, la répétition.
La deuxième partie quant à elle représente le dessous des éléments, ce qui vient après, ce qu’il y a derrière, les émotions générées par tout ça mais aussi les voix, les tentatives pour exprimer ce chaos, cette angoisse.
La troisième synthétise tout ce désarroi, pour essayer d’amener l’humanité dans une élévation de sa conscience, pour essayer d’amener les bonnes questions sur la table.